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Notre cerveau ? Oui, c’est l’un des obstacles que nous devons surmonter en tant qu’investisseur. La psychologie humaine peut en effet mener à la prise de mauvaises décisions susceptibles de nous coûter beaucoup d’argent. Heureusement, il y a quelques astuces pour contrecarrer nos émotions.
Combien d’argent seriez-vous prêt à perdre à pile ou face pour tenter de gagner 100 euros ? La réponse à cette question a valu un prix Nobel. Non pas que le Comité Nobel soit particulièrement intéressé par les jeux de pile ou face, mais parce que la solution à ce problème en dit long sur la psychologie humaine.
Cette recherche a conclu que l’être humain répugne, par nature, à éprouver la perte – y compris lorsqu’il investit. Ce type de prise de conscience peut être très utile. Car la peur de perdre de l’argent est parfois tellement présente qu’elle nous pousse à prendre de mauvaises décisions et… à perdre de l’argent.
50 euros. C’est le maximum que la plupart des gens sont prêts à perdre s’ils peuvent gagner 100 euros. Ce chiffre s’explique par la théorie de « l’aversion à la perte ». Selon celle-ci, nous sommes deux fois plus sensibles à la perte qu’au gain. En d’autres termes : la douleur que nous ressentons en perdant 100 euros est deux fois plus forte que le plaisir que nous éprouvons en trouvant 100 euros dans la rue.
« L’aversion à la perte » est déterminée par l’évolutionnisme : c’est un comportement hérité de la Préhistoire. Les hommes préhistoriques qui prenaient moins de risques avaient des chances de survie supérieures : ils s’exposaient moins aux situations critiques, à la perte de nourriture et à la rencontre avec des prédateurs dangereux. Et, bien que notre vie d’aujourd’hui soit complètement différente, nous sommes toujours programmés pour éviter les risques.
La peur de perdre, nous l’avons vu, nous la ressentons aussi lorsque nous investissons. Il arrive même que « l’aversion à la perte » prenne le pas sur la raison et nous pousse à écouter plutôt nos émotions, ce qui va entraîner de mauvais résultats financiers. Un tel comportement peut s’exprimer de différentes façons :
En matière d’investissement, il y a une grande différence entre « l’aversion au risque » et « la prudence ». L’aversion au risque va généralement de pair avec une approche qui tend à supprimer tous les risques, ce qui élimine inévitablement aussi des chances de faire croître son capital. Tandis que dans une approche prudente, on accepte de prendre certains risques en intégrant des mécanismes permettant de surmonter les écueils. En d’autres termes : l’investisseur qui a une aversion au risque n’enfourchera pas un vélo parce qu’il sait qu’il peut tomber. L’investisseur prudent prendra le vélo, mais portera un casque.
L’aversion au risque entraîne un étrange paradoxe : en cédant à la peur de perdre de l’argent, on risque justement d’en perdre davantage en prenant des décisions irréfléchies. Et décider de ne pas investir ? Ce n’est pas une solution non plus : l’inflation, en effet, ronge l’épargne. Pour protéger réellement son pouvoir d’achat, il faut donc éviter les pièges de l’aversion au risque et investir intelligemment. Comment ? En suivant les conseils ci-dessous.
En investissant chez Crelan, vous optez pour une tranquillité d’esprit totale. Vous n’êtes jamais face à une décision difficile, c’est un professionnel qui les prend pour vous. Obtenez plus d’infos ici ou contactez votre agent Crelan.
Disclaimer : Les informations contenues dans cette publication constituent un commentaire général sur la situation financière actuelle et ne doivent pas être considérées comme un conseil ou une recommandation concrète en matière de produits financiers.